Après deux ans… déjà… je continue à considérer que catégoriser et étiqueter c’est très différent.
Les catégories sont orientées droits d’accès, donc aux groupes et les étiquettes pas du tout (sauf si je me trompe).
Donc, les catégories devraient être fonctionnelles plus que thématiques, comme dans un kanban (nouveau, en cours, à discuter, fait).
Les étiquettes étant thématiques (administratif, matériel, infrastructure, facture, communication, support, bug, tension, urgence, vpn, logiciel, etc…), il faudrait les utiliser pour accompagner les sujets traités.
Les groupes ayant le double rôle de grouper et mentionner (@…) plusieurs utilisateur·ice·s et définir des droits d’accès.
En considérant que la grande majorité des informations seraient d’utilité publique, les groupes faciliteraient l’identification de qui est dans quel groupe de travail (hub…), qu’il y aurait une ou peu de catégorie non publique (modération) en tenant compte du fait que les message inter-personnel ne sont pas publiques (mais publiable si besoin) et qu’il y a donc une plus grande facilité en terme de gestion des droits d’accès (qui peu faire quoi dans quelle catégorie).
J’avais commencé avec Comprendre les niveaux de confiance (Trust Levels), et je continue à questionner, en vue de simplifier et clarifier pour tendre vers l’espace publique, les mécanismes de « trust-level », de « droit d’accès » parce qu’une partie de mes considérations sont enracinées dans l’émancipation vis à vis des outils techniques, et donc des personnes qui en administre les droits et qui seraient « responsables » de la modération.
Je ne dis pas qu’il ne faut pas de gestion des droits, mais qu’il en faut peu.
Le minimum possible et toujours tendre vers ce minimum possible, sans quoi la complexité, et donc la dépendance à des techniciens et techniciennes grandit.